Érika Zerbini et ses chevaux.
Piolita, le clown.
Le ballet aérien.
Celui qui nous a fait battre le coeur.
Anthony et Jennifer Thomas.
Il y a les fêtes de fin d’année, la période des impôts, des vacances, etc… Justement au mois d’août régulièrement reviens le cirque Tarzan Zerbini sous l’enseigne des Shriners. Il est là pour quelques jours, le cirque que j’aime, avec son immense chapiteau, le plus grand au Canada à part celui du Cirque du Soleil, ses camions rutilants, ses caravanes luxueuses, un village dans la ville. En plus, il y a des animaux! (Oui, oui) Il ne faut pas le manquer parce que des cirques itinérants sous chapiteau il n’y en a quasiment plus chez nous, et quand il y en a un, il reste en remise à cause des tracasseries des communautés locales. Bref, je n’allais pas manquer mon plaisir. Il y avait même une demi-douzaine de manifestants contre la présence de 2 éléphants, un scandale!... Mais le public était là.
Je dois avouer qu’en sortant j’étais un peu déçu. Je venais de voir tout ce que l’on reproche aux cirques traditionnels. Une suite de numéros sans liens, des artistes qui en général exécutent leurs ``tricks`` sans imagination et des costumes horribles accompagnés d’une musique passe partout. Il y a là deux familles qui font à elles seules la presque totalité du spectacle, je sais c’est courant. Ils sont bons dans leur spécialité, mais le reste laisse à désiré. Pourtant cet établissement avait fait des efforts louables auparavant!
De cet échec émergent quelques petits joyaux, heureusement. D’abord Davin Chandler, le maître de piste américain qui depuis la retraite de Pierre Jean, notre présentateur national, fait seul la présentation du spectacle en français et en anglais et fort bien. Il y a quelques temps il était encore unilingue anglais. Il chante aussi et le numéro de ballet aérien qu’il accompagne est un très bon moment à passer. Les enfants de la maison, Érika Zerbini et Anthony Thomas, elle à la cavalerie, lui avec ses éléphants sont nettement au dessus de la moyenne. Sauf, sauf un à la corde volante. Ne me demandez pas son nom, il n’est pas inscrit au programme. Cet acrobate, qui n’est plus très jeune, fait partie d’une de ces familles dont je vous parlais plus haut. Il est la haut à 15 mètres au dessus de nos têtes sans longe et sans filet et il nous donne des sueurs froides. Surtout lorsqu’il fait une ``rattrape`` sur un talon, quelle intrépidité. En terminant, mentionnons le clown maison, Piolito, qui présente toujours des entrées pleines de fraicheur et d’humour tendre, un très bon artiste.
Je ne me suis pas ennuyé, mais pour une ville comme Montréal qui commence à voir grâce à la Tohu et à l’École Nationale de Cirque ce qui se fait ailleurs et à former de jeunes artistes qui voyagent dans le monde entier, il faudrait autre chose pour rendre crédible le vrai cirque traditionnel.
A bon entendeur salut.
Guy.
Crédit photos : John Allard .
Je dois avouer qu’en sortant j’étais un peu déçu. Je venais de voir tout ce que l’on reproche aux cirques traditionnels. Une suite de numéros sans liens, des artistes qui en général exécutent leurs ``tricks`` sans imagination et des costumes horribles accompagnés d’une musique passe partout. Il y a là deux familles qui font à elles seules la presque totalité du spectacle, je sais c’est courant. Ils sont bons dans leur spécialité, mais le reste laisse à désiré. Pourtant cet établissement avait fait des efforts louables auparavant!
De cet échec émergent quelques petits joyaux, heureusement. D’abord Davin Chandler, le maître de piste américain qui depuis la retraite de Pierre Jean, notre présentateur national, fait seul la présentation du spectacle en français et en anglais et fort bien. Il y a quelques temps il était encore unilingue anglais. Il chante aussi et le numéro de ballet aérien qu’il accompagne est un très bon moment à passer. Les enfants de la maison, Érika Zerbini et Anthony Thomas, elle à la cavalerie, lui avec ses éléphants sont nettement au dessus de la moyenne. Sauf, sauf un à la corde volante. Ne me demandez pas son nom, il n’est pas inscrit au programme. Cet acrobate, qui n’est plus très jeune, fait partie d’une de ces familles dont je vous parlais plus haut. Il est la haut à 15 mètres au dessus de nos têtes sans longe et sans filet et il nous donne des sueurs froides. Surtout lorsqu’il fait une ``rattrape`` sur un talon, quelle intrépidité. En terminant, mentionnons le clown maison, Piolito, qui présente toujours des entrées pleines de fraicheur et d’humour tendre, un très bon artiste.
Je ne me suis pas ennuyé, mais pour une ville comme Montréal qui commence à voir grâce à la Tohu et à l’École Nationale de Cirque ce qui se fait ailleurs et à former de jeunes artistes qui voyagent dans le monde entier, il faudrait autre chose pour rendre crédible le vrai cirque traditionnel.
A bon entendeur salut.
Guy.
Crédit photos : John Allard .
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