Ce jeune Floridien marque déjà la scène montréalaise. Après sa brillante prestation à la Tohu, il a fait rire les Montréalais tout l’été dans le cadre de la Promenade des arts du cirque. Sa désopilante animation sur les quais du Vieux Port a d’ailleurs été saluée unanimement. Nous avons eu encore l’occasion de l’apprécier lorsqu’il assura la première partie du spectacle Laisser-Porter en septembre à la Tohu. On assiste très certainement aux prémices d’une grande carrière.
Photo: Alonzocirk.
La Québécoise Marie-Andrée Lemaire, le clown au féminin, diplômée 2006.
Photo: Valérie Remise.
L'Espagnol Ruben Martin Urdiales incarne un personnage singulier qui affectionne les insectes, diplômé 2007. Également musicien.Photo:Valérie Remise
Vous souvenez-vous du Suisse Nicolas Leresche, diplômé en 2000? Un clown-musicien remarquable. Photo: Ivanoh Demers.
Dans l'année à venir, hélas, aucun élève ne semble s’orienter vers cette spécialité. Dommage, mais je me console en sachant qu’une vocation tardive peut se révéler après la période de formation. J’en veux pour exemple le jongleur Stéphane Gentilini, diplômé en 2002. Il s’en allait sur les traces de Rastelli, lorsque le Cirque Éloize lui confia un rôle comique dans Rain. Quel clown merveilleux , ce fut. Il réitère actuellement avec succès dans Nebbia. Il faut parfois savoir attendre avant que ne s’exprime le "vis comica". Le Français Stéphane Gentilini, jongleur dîplômé en 2002, révélation comme clown dans Rain. Photo: Copyright 2007 Cirque Éloize/Valérie Remise.
Yves Dagenais, professeur à l'École Nationale de Cirque, a accompagné la pluspart de ces jeunes clowns dans leur formation. Photo: http://www.cracclown.com/artistes.html
Claude
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