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lundi 18 avril 2016

Cirkopolis

Ce titre nous rappelle le célèbre film de Jack Lang tourné en 1927, Métropolis, un classique du cinéma allemand, et ce n’est pas pour rien, l’action se passe dans les même décors d’une mégapole déshumanisée. Mais, de quoi parle-t-on?




Du retour du Cirque Éloize à Montréal! Il rentre d’une tournée mondiale où il a remporté le plus grand succès, il était à la salle Maisonneuve de la place des Arts qui était remplie de spectateurs enthousiastes! Le rapport avec le film est donc le décor d’une mégapole, mais il n’y a pas de décor! Non, nous sommes dans le domaine du cinéma, donc, ce sont des projections sur le fond de la scène, et on s’y croirait! Ainsi les artistes disposent d’un espace très important, et ils en profitent! Mais qui sont-ils? Des quidams, tous vêtus du même complet veston gris et gabardine de même couleur, qui se rendent, pressés, vers leur travail. N’oubliez pas, nous somme en 1927!


Ce spectacle est un amalgame de théâtre, de danse et de cirque, surtout de cirque. Tous les numéros sont excellents, de groupe ou seul. J’ai retenu surtout la roue allemande et le main à main avec un équilibre sur tête renversant, et les clowns, bien sûr. Ce qui ne veut pas dire que les autres étaient moins bons loin de là! Parmi les numéros de groupe, le jonglage m’épate à chaque fois et la banquine ne m’a pas laissé indifférent.
Le final
Ce spectacle est un amalgame de théâtre, de danse et de cirque, surtout de cirque. Tous les numéros 
Au final le décor a changé, nous somme sous le chapiteau d’un petit cirque et nous assistons à un numéro de banquine et de planche sautoir qui soulèvent l’enthousiasme du public qui montre ainsi son plaisir d’avoir assisté à un spectacle impressionnant, et je suis tout à fait d’accord, merci Jeannot Painchaud, merci au Cirque Éloize et à tous ses artistes sans oublier ceux qui sont derrière et dont on ne parle jamais.

Guy Bordelais

Photos:  Valérie Rémise et Benoît Fontaine.

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