Stéphane Lavoie, directeur dénéral de la Tohu, animait la réunion. Il était accompagné de Nadine Marchand, directrice du projet (à droite) et d'Honorine Youmbissi, relationniste à la Tohu.
Il ressort de la réunion de ce mercredi que le festival se tiendra au cours de l'été 2010, probablement en juin. Il n'y aura pas de compétition. Le contenu devrait être à 75% local et à 25% étranger. Ce sera un festival de cirque contemporain, mais les cirques équestres du Québec ne seront pas exclus à priori. L'objectif pour ce premier festival est de faire vibrer la ville au rythme du cirque pendant une semaine, mais rien n'est défini. La formule reste ouverte.
Des réunions intensives attendent le comité organisateur au cours des prochains mois. Bon courage à tous. Un projet ambitieux qui nous réjouira une fois rendu à terme, j'en suis persuadé. Nous vous tiendrons informés de son évolution.
4 commentaires:
Comment ce contenu a-t-il été délémité? j'aimerais bien que la dimension internationale du cirque augmente rapidement. Y verra-t-on du cirque à saveur "alternatif"? j'ai très hâte de voir le programme. Comment ce festival sera-t-il financé?
Merci Claude pour tous vos commentaires, mais je voulais savoir quelle fonction vous exercez en rapport avec le cirque ? Êtes- vous directeur ? Artiste ?
Pour ma part, je fais du cirque dans une école à Périgueux (24), et ma spécialité ( entre autres ) est les cannes. Vous vouliez savoir si c'était moi sur les photos, en effet oui, je fais des autos portraits que j'appelle : acro portrait. Je suis contente que mon art vous plaise !
Réponse à michoumisalade:
Vous posez des questions intéressantes, mais faute d’informations certaines devront rester sans réponse pour l’instant. Le contenu? Il n’est pas encore délimité. Je suppose que la réunion mentionnée dans mon billet permettait justement aux responsables « d’aller à la pêche », de ramasser des idées. Cirque alternatif? Je n’ai pas entendu dire que ce soit exclu. Bien sûr, en tant qu’amateurs, nous aimerions voir une belle proportion de cirque étranger, mais je crois que dans l’esprit des promoteurs du projet, le festival doit d’abord être une vitrine du cirque de chez nous. Il faut aussi savoir qu’au mois de juin, les étrangers, les Européens en particulier, seront peu disponibles. Le financement? Outre les subventions traditionnelles, non définies, il est certain que les entreprises et les commerces locaux seront appelés à collaborer.
Comme vous voyez, tout, ou presque, est encore sur la table.
Un projet que nous suivrons de près.
Claude
Réponse à Ilona:
C’est gentil de venir faire un petit tour sur notre blogue. Directeur ou artiste? Ni l’un ni l’autre, mais vous évoquez deux de mes rêves, mademoiselle. Non, j’appartenais simplement à l’administration d’un grand cirque français, il y a bien longtemps de cela. D’ailleurs, je me souviens être passé dans votre belle ville de Périgueux en 1963 ou 64! C’est un beau souvenir. J’ai aussi travaillé au service de publicité d’un cirque parisien très connu. Pour en savoir un peu plus, vous pouvez lire mon billet de présentation, publié le 15 mai 2008 dans ce blogue. Aujourd’hui, je collabore à l’occasion avec l’un ou l’autre cirque, mais mon activité principale est l’écriture. Écriture qui tourne toujours autour du cirque, car ma passion reste vive.
Bonne continuation dans vos activités.
Au plaisir de vous revoir sur ce blogue.
Claude
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